em uma forma… que anima e impulsiona
Carmen Argote uses her own body as a prism to metabolize her surroundings. Walking and exploring environs—familiar and foreign—are seminal to her practice. Commonwealth and Council
Jill Magid – The entrance to the booth is framed by an installation of Market Flowers, fresh-cut from open-air markets near the center of Paris, diverted from circulation and recontextualized as art.
Collage de deux formes et de deux espaces, entrelacés par une pluie acide et accessoirisés de voiles en dentelle, de boas et de charms, Lies poursuit les recherches conceptuelles et formelles de Mimosa Echard sur la photographie en tant que médium intrinsèquement vulnérable, à la fois surface pénétrée et théâtre de projections artificielles. En juxtaposant les « architectures du plaisir » des deux derniers siècles — le fantasme d’un safe space sans radiations et les origines de l’expérience urbaine consumériste — l’artiste examine l’érotisme de la chair contemporaine et son désir inéluctable de devenir image. Crousel
Pour cette première exposition personnelle au Centre Pompidou (elle a déjà présenté ses œuvres à Montréal, Varsovie, Los Angeles, La Havane ou Istanbul), Gaëlle Choisne propose un voyage temporel et sensoriel dans un espace recomposé. Au sol, des concrétions de liège teintes en noir, façon plage volcanique ; aux murs, de grands panneaux peints où s’agrègent divers éléments collectés. Et au centre, des sortes de « ruches », elles aussi en liège, depuis lesquelles sont projetées des images vidéo. Avec cette installation hybride, qui est aussi « un îlot, un archipel, un lieu où différentes réalités se cumulent pour être réinventées et réparées », l’artiste nous invite à « changer de perspective sur le monde et devenir l’observateur de sa propre espèce ». Centre Pompidou